Devant l'image

530 mots 3 pages
Des lignes pensantes

La vie ne trouve so
J’y pense et repense mais quand on y pense, on oublie tout.

Un soir me renle parmi des millions.
Elle est vite partie, sans rien dire.
Puis j’ai passé ma vie à courir.
Pour la chercher et la garder,
Auprès de moi, à tout jamais.

Je veux écrire un poème.
Un joli, pour dire je t’aime.
Seulement j’ai un problème,
Ce ne sont pas mes uis.
Ce n’est pas facile je comprends rien à ce qu’il dit.
Il parle d’une fille, celle de ma vie.
Quelqu’un qu’il ne faut pas que j’oublie.

La nuit et le jour, mes pensées sont troublées.
Je pense que c’est de l’amour.
Mais comment le prouver ?
La fatalité m’a faite victime, d’un sentiment incontrôlé.
Mon cœur réclame une prime, pour celle qu’il dit aimer.

Un changement est volontaire que par décision. S’il est forcé alors c’est une influence.

Notre pensée nous emprisonne. Nous ne pouvons pas ne pas penser. Et penser nous parait alors si banal que nous n’accordons pas l’importance due aux belles pensées. Il nous est impossible également de penser plusieurs choses à la fois, bien que souvent l’on prétend le contraire. Et plus on aime une pensée, moins il nous est possible de s’en détourner. C’est parfois omme dont la pensée est figée ? Qu’en est-il d’une personne, tellement absorbée par une pensée qu’elle aime au plus profond de son être ? Enfin un homme mort n‘a-t-il pas sa dernière pensée figée ?

La nuit ou le jour
Sans au revoir et amour
Se sont envolées pour toujours
Mes pensées, mon humour
Je suis l’échea vie
Je le comprends aujourd’hui
Je vous le di
Un moment pour y croire
N’aboutissant é
Pour correctement regretter
Les choses pire
Ainsi est mon destin
Je me serai cru plus malin
Ce n’est pourtant pas la fin
Je le sais très bien
La meilleure raison pour moi
De vivre dans ce désarroi
Dans cette réalité qui n’existe pas
C’est bien entendu, toi
Le fruit de m
Qui n’est autre que notre union.

Un dimanche je me pose sur devant une

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