Developpement durable
Le consommateur est intéressé par le soutien de l’environnement, la question est de savoir combien le consommateur est près a payer pour protéger une petite part de l’environnement. C’est ce qu’on appelle « la prime verte ». C’est pour ca qu’on utilise les méthodes environnementales qui servent a estimer la valeur des caractéristiques environnementales des produits. Les écolabels servent quand a eux à signaler au marché la qualité environnementales des produits.
Evaluation environnementale : Estime une valeur monétaire fondée sur les préférences des consommateurs. Et à déterminer le consentement marginal des consommateurs à payer. Mise en place de tarifications différentes pour capter les surplus selon des caractéristiques particulières.
On remarque que plus leurs revenus sont élevés plus les individus sont prêt à payer pour consommer des produits verts. Des études indiquent que la prime verte varie avec les biens (le pourcentage « écologique » dans le prix du produit). La prime verte existe en particulier pour les biens supérieurs.
Les individus attachent différents types de valeur aux ressources naturelles comme la forêt : valeur d’usage, valeur d’option, valeur de non-usage.
Pour mesurer la demande : Approche par la production des ménages (Méthode au cout du voyage de Hotelling 1947 et dépense de protection) ou analyse des prix hédonistes (méthode très utilisée). * * Les Ecolabels : Distinction entre biens de recherche, biens d’expérience, biens de croyance. Biens de croyance = biens dont on ne peut pas vérifier les caractéristiques environnementales même en les essayant * Biens d’expérience = La qualité de ce bien de ne révèle qu’avec l’expérience. La certification d’une organisation externe permet de crédibiliser les produits d’un producteur. C’est un signal envoyé au consommateur. C’est l’asymétrie d’information qui justifie