Devoir de français
- Les péripéties L'élément perturbateur : Axelsen, ami du narrateur, fait son apparition, et raconte une histoire à ce dernier.
Il tombe sous le charme d'une jeune demoiselle à qui il offre une aquarelle lors de sa fête. L'aquarelle, faite avec de l'eau de mer, est sujette à l'influence de la Lune et aux marées.
Par une nuit de tempête, le tableau déborde et noie la jeune femme.
- État final Le narrateur va voir un dénommé Johanson et ce dernier lui dit que ce n'est d'une « blague ».
Deux registres dominants se côtoient dans la nouvelle étudiée : le registre comique et le registre fantastique. Le premier se retrouve plutôt dans l'état initial du récit, lorsque le narrateur décrit la ville du Havre et les égouts (l. 9 à 11). La pointe comique peut-être également aperçue vers la fin du récit d'Axelsen, lorsqu'il le compare à un veau marin (l. 55). Le registre fantastique, lui, se loge dans le récit d'Axelsen : on retrouve des éléments peu probables, comme l'influence de la Lune sur l'eau de mer utilisée pour l'aquarelle (l. 46 et 47). De plus, la baie de Vaagen mentionnée à la ligne 36 n'existe pas, tout comme la région dont elle est supposée provenir. Ces deux éléments semblent être sortis tout droit de l'imagination du peintre norvégien.
Travail d'écriture : « Tu connais Axelsen. Il a du inventer tout cela. Johanson... Cette fois-ci, c'était différent : Axelsen était au bord des larmes. Je ne l'ai jamais vu dans cet état-là. Laisse-moi te demander quelque chose avant tout. Oui ? Où parliez-vous ? Pas très loin d'alcool ? Oui, mais- ... Tu sais comment Axelsen se comporte lorsqu'il ingère ne serait-ce qu'un peu d'alcool. Il cherche à attirer l'attention. Effectivement, c'était vrai la dernière fois qu'on s'était vu... Mais il avait l'air vraiment sincère, tout à l'heure. C'est parce qu'il n'était