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1) Questions
a) La valeur des interrogations du paragraphe 3 est d’affirmer qu’il y a de nombreuse femmes en banlieues qui pour briser la solitude et son silence s’échappent par le travail ou par la distraction d’un animal de compagnie. On n’attend aucune réponse à l’interrogation car elle est rhétorique.
b) Les termes utilisés afin de marquer la dépréciation de la solitude dans les quatre premiers paragraphes sont : « suspecte, palliatif, le fléau qui ne cesse de s’étendre, l’isolement, se plaint, esseulés, intolérance, toxicomanie, maladie ».
c) Avant le cinquième paragraphe A.Toffler met le doigt sur l’extrême besoin pour de plus en plus de personnes de briser la solitude qui les entoures et ce par tous les moyens. Le cinquième paragraphe débute par le mot « cependant ». Ce connecteur logique entraine la concession ; une demi teinte à son raisonnement. Il admet que se besoin extrême ne peut être comblé n’importe comment bien que vital. Il introduit alors un nouveaux paradox : La société réclame des liens à tout pris mais des liens de qualités. Cet exercice lui permet de faire la transition vers une nouvelle étape de son argumentation.
2)
L’ors qu’Alvin Toffler nous livre son raisonnement sur la solitude, il parle aussi bien de nos milieux familiaux, mais aussi au travail, à la maison. Cet isolement ne touche d’après l’auteur, non seulement les jeunes mais toutes tranches d’âge et toutes sorte de profils sociaux différent, dans le monde. Le monde civilisé entend il surement. La solitude n’est elle pas un mal moderne ? Ne serait-elle pas le revers d’une civilisation, celle de la facilité ? Aveugle. Serions-nous aveugle ? Nos civilisation n’ont eux cesses d’avancez dans tous les domaines de façon exponentielle. En science, il y a cinquante ans le clonage était du domaine de la science fiction. Aujourd’hui nom pouvons le déchiffrer et théoriquement le modifier. En mécanique les voitures vont de plus en plus vite et les