Diderot, diderot et encyclopédie
Cette personne extrait alors tous les nutriments et les substances de cette carotte. Ceux-ci vont alors constituer la masse de ses muscles, de son corps, de son cerveau, donc de sa personne. La digestion est le passage de quelque chose qui n’était pas nous pour le faire devenir nous. Cette affirmation est vraie, mais les humains ne sont pas capables de manger une pierre. Mais cette pierre peut se réduire en poudre qui peut être ensuite introduite dans de la terre. Cette terre contient alors plein de minéraux que les végétaux vont absorber. En d’autres mots, les végétaux digèrent les roches. Les humains mangent des végétaux, donc Diderot veut monter que d’est un phénomène purement physique et que ce cycle est éternel. De plus, la composition de notre corps peut permettre de nourrir la terre, ce qui rend ce cycle …afficher plus de contenu…
Il démontre que l’amour - propre dégrade la pitié et que cela affecte nos actions envers les autres : « C’est la raison qui engendre l’amour-propre, et c’est la réflexion qui le fortifie ; c’est elle qui replie l’homme sur lui-même ; c’est elle qui le sépare de tout ce qui le gêne et l’afflige : c’est la philosophie qui l’isole ; c’est par elle qu’il dit en secret, à l’aspect d’un homme souffrant : péris si tu veux, je suis en sûreté. » [footnoteRef:3] La pitié est étouffée par la raison, mais celle-ci va être modulée par les passions. Plus précisément, à partir du moment où les humains auront des rapports sociaux, la motivation afin de sauver une personne va, soit s’accroître ou s’atténuer, par les passions. Par exemple, si je vois une personne que j’aime se noyer comme ma mère, je vais être beaucoup plus motivé à aller la sauver. C’est une personne avec qui j’entretiens des passions positives. Cependant, si je vois une personne que je n’aime pas se noyer comme mon