Didier van cauwelaert
4ème langues modernes
Didier Van Cauwelaert : Un aller simple.
Lorsque j’ai commencé à lire ce livre, j’avais le sentiment que j’allais l’aimer car l’histoire m’intéressait énormément. En plus, la lecture était vraiment compréhensible donc je suis rentrée facilement dans l’histoire.
Personnellement je recommande ce livre aux lecteurs qui préfèrent les histoires qui pourraient être réelles, car je crois que ça correspond à cette catégorie. Les lecteurs peuvent interpréter et se projeter de différentes façons. Chaque lecteur aura une interprétation différente. L’auteur a choisi de raconter les événements à la première personne au singulier, donc les personnages racontent ce qu’ils voient. Je pense que lire le livre raconté à la première personne du singulier a plus d’avantages puisqu’il contient des pensées propres à chaque personnage.
Un aller simple est un livre avec deux personnages principaux, Aziz et Jean-Pierre « attaché humanitaire ». Ces personnages avec un passé différent se réunissent dans un voyage qui bascule leurs vies. Aziz était un jeune sans aucune connaissance sur ses origines, il vivait hors de son pays, en France, avec des étrangers qu’il appelait sa famille. Il n’avait pas une belle vie car il habitait dans une cité assez pauvre et sale. Le jeune était désespéré et curieux de trouver des réponses sur son passé. Cependant un jour le gouvernement a décidé de le renvoyer chez lui. Ce n’était pas juste car Aziz n’avait personne là-bas. Même sa vie en France ne lui promettait pas grand chose, mais au moins il avait des gens qui l’aimaient. Au lieu de l’aider à construire une vie plus confortable en France, le gouvernement le renvoyait dans son pays. Qu’est-ce qu’il va faire dans un pays étranger ? Que va-t-il faire dans son pays d’origine alors qu’il n’y a jamais mis ses pieds ? Pour moi, je me battrais pour mon avenir et ma liberté. Aziz ne s’est jamais rebellé contre la décision, il a abandonné avant que la bataille