Discours onu
«Confrère, Messieurs les présidents , si je suis ici, aujourd’hui, face à vous, c'est pour vous faire prendre conscience de quelque chose de grave. Il s’agit de l’esclavage dites "moderne", celle-ci pourtant abolie le 4 février 1794 puis par un deuxième décret le 27 avril 1848, l’esclavage moderne est toujours présent.
Malgré la Déclaration Universelle des droits de l’Homme de 1948, des milliers de gens dans le monde subissent encore aujourd’hui l’esclavage moderne présent sous différentes formes. Pourtant, écrivains, hommes politique, journalistes, on lutter contre cela comme Etienne de la Boétie, Michel de Montaigne, Robespierre ou encore François René de Chateaubriand. Lamartine, lui à signé le décret d'abolition de l'esclavage au 27 avril 1848.
Pour commencer, l’esclavage forcé, les personnes contraintes sous la menace d’effectuer des travaux difficiles dans des conditions plus que dangereuses. Leur rétribution est inexistante et ils sont souvent enfermés, privés d’identité, soumis à des violences physiques et surtout psychologiques. Les enfants en sont les principales victimes, mais les adultes, hommes et femmes sont aussi concernés. Ils travaillent surtout dans les mines, les ateliers ou les usines.
De plus, l’exploitation sexuelle des femmes et des enfants, personnes vulnérables, constitue une des formes les plus connues du travail forcé. Piégées par des trafiquants, les jeunes femmes sont victimes d’une certaine violence parfois sexuelle. On a beaucoup parlé de ces pratiques criminelles concernant les enfants dans certains pays d’Asie du Sud Est, en Amérique latine et en Afrique subsaharienne. Il s’agit généralement de réseaux criminels qui pratiquent le trafic d'êtres humains.
Il existe l’esclavage sous forme de dettes, lorsque la misère est trop grande. Cela consiste à emprunter de l’agent à un « créditeur» qui est souvent un homme riche et puissant, pour rembourser la dette de la famille, en échange, ils ou elles