Discours sur les fondements de l'inégalité parmis les hommes
Introduction :
Rousseau écrit son Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité au 18° siècle. Nous sommes en plein siècle des Lumières, siècle qui réfléchit profondément sur la condition humaine. Rousseau nous présente ici la transition entre deux états différents, l’Etat de nature, fictif, et l’Etat social. Nous nous demanderons ainsi en quoi Rousseau met en valeur sa conception de l’homme au travers d’une écriture très symétrique.
Développement :
L.1 à L.7 :
« Tant que les hommes ….. tant qu’ils …..» : le temps de la liberté, de la simplicité, du bonheur. On relève les termes : Rousseau cite des travaux « qu’un seul pouvait faire »/ »qui n’avaient pas besoin du concours de plusieurs mains », « doux commerce indépendant ».
S’oppose à « mais dès l’instant qu’un homme eut besoin du secours d’un autre…. »
Dès que l’activité se complexifie et qu’on a besoin d’être à plusieurs pour manger, chasser, etc….cela créé la notion de dépendance, d’esclavage, mais aussi la notion de propriété. L’homme prend conscience qu’il peut satisfaire autre chose que ses besoins simples.
I) Le mythe de l’Etat de nature
A) Une vie simple
Les hommes ont des activités simples (cabanes rustiques = grossières, couture d’habits de peaux avec des épines ou des arrêtes, peinture sur le corps, des armes simples, grossiers instruments de musique).
B) Chaque homme est indépendant des autres
Rousseau cite des travaux « qu’un seul pouvait faire »/ »qui n’avaient pas besoin du concours de plusieurs mains », « doux commerce indépendant ». C) Une vie heureuse
La vie dans cet état de nature : « ils vécurent libres, bons, sains, et heureux »
Transition : pour Rousseau, les hommes dans cet état initial sont des bons sauvages. Mais c’est une fiction qui lui permet de justifier l’apparition de la société
II) Comparaison de