disert
l'enterrement spécifié à la fin du texte peut très bien être le s
La Tristesse :
La mélancolie, la tristesse, le désespoir et la détresse sont exprimées par un choix de couleurs, entre autre, avec la dominance du noir tout le long du texte, et qui clôture même ce poème, en un mot final et sombre
La pluie dessine une immense prison, vaste (vers 10) mais extérieure.
La prison finit par s'installer à l'intérieur de l'homme
la tristesse, qui est la traduction littérale du mot " Spleen ".
L'auteur, triste, se sent alors enfermé dans son malheur, qu'il exprime alors avec une absence de liberté.
Les participes présents « embrassant, battant, étalant » dans les trois strophes allongent encore la durée de cet état d’oppression physique et morale.
L'absence de liberté :
On ressent un très grand enfermement du paysage intérieur et extérieur, d'où l'image de la prison exprimée en une métaphore filée : c'est une aliénation. sensation morbide , tableau macabre,accentuation de la mort (à la fin) , " Mal de vivre " l’homme est condanne à rester dans cette état
FIGURE DE STYLE
Métaphore
- le ciel, avec la comparaison à un couvercle, symbolisant un cercueil, et l'image de " se cogner la tête à des plafonds pourris ", les latéraux, avec les " murs ", " les filets ", et les traînées verticales de la pluie symbolisant les barreaux d'une prison, au 2ème paragraphe avec tout de même un renforcement grâce au mot " barreaux ". les sons longs en " en " et " on " éternisent l'angoisse
L'oxymore " jour noir "
Les allégories comme " Espérance, Espoir, Esprit ",Cela exprime donc ici la misère morale, l'angoisse
L'anaphore, avec le mot "quand" répété 3 fois les enjambements continuels, tout cela donne l'impression d'un mouvement lent et enchaîné inexorablement.
INTRO
« Spleen » est placé au milieu des 126 poémes a été publié le