Disseration : peine de mort (travis davis 2011)
En plus de tout ce qui a été dit plus haut, il faut reconnaître que la peine de mort, que ce soit par injection ou par chaise électrique, est une technique extrêmement barbare ! Comment est-ce possible qu’un individu administre 2000 volts à un être humain pour le tuer ? Est-ce cohérent ? Ne serait-il pas préférable de laisser le condamné en prison longtemps afin qu’il réfléchisse sur ses actes commis ? Il est possible que la personne guérisse grâce à des aides psychologiques. Néanmoins, dans certains cas les détenus, principalement ceux ayant commis un délit très grave, sont incurables.
La peine de mort, en plus d’être une technique barbare, viole la Déclaration des Droits de l’Homme. Celle-ci nous dit que « nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants ». Amnesty International, œuvre humanitaire pour l’abolition de la peine de mort, estime que la torture et les peines ou traitements cruels sont injustifiables dans tous les cas. Le détenu condamné à mort n’est pas en égalité devant la loi. Ayant pris conscience de cela, certains pays ont décidés d’abolir la peine de mort. Dans le monde, on distingue quatre catégories de pays : premièrement, les pays ayant décidé d’abolir la peine capitale et ne l’appliquant plus. Deuxièmement, les pays ayant décidé de la conserver et l’appliquant. La troisième catégorie de pays a décidé d’abolir la peine de mort uniquement pour les crimes et les délits. La dernière catégorie l’abolit mais elle est maintenue pour des crimes exceptionnels et en temps de guerre.
La peine de mort est aussi synonyme d’injustice. Le 14 Juillet 1921, c’est l’indignation dans le monde entier. Cette nuit là, un jury de Dedham en Amérique, venait de prononcer une condamnation à mort concernant Nicola Sacco et Bartolomeo Vanzetti, deux hommes d’origine italienne. Cette peine a été prononcée sans aucune preuve. Ce qui s’était passé est