Dissert
plan de l'éxposé:
_Le poids des préjugés.
_Les partisans de l'égalité politique.
_La révolution de 1789: un espoir pour les femmes
Qui sont les militantes de 1798
Revendications et modes de communication des femmes
_La révolution : un bilan mitigé pour les femmes.
Les femmes rejetées de débats politiques.
Avancées civile mais pas politique
_Conclusion
Nous allons vous parler des conditions de la femmes au XVllle siècle.
En effet le XVIIIe siècle est un siècle empli de contradictions.
Malgré leur volonté de lutter contre l’obscurantisme des siècles précédents, certains philosophes des lumières restent étroits d’esprit, voire « machistes » en ce qui concerne la condition de la femme et son accès à l’éducation. Inégale physiquement, elle serait également inégale intellectuellement.Elle serait naturellement inférieure à l’homme puisque d’un point de vue religieux elle fut créée à partir de lui. Cette infériorité fut en quelque sorte le point de départ à la soumission de la femme à l’homme. Et plusieurs siècles plus tard, la femme tente tant bien que mal d’échapper à cette condition. Sans droit à l’éducation, certaines auront prouvé, par leur érudition ou leur courage à affronter la classe politique, qu’elles étaient prêtes à égaler les hommes. Or, l’avancée de la condition féminine passe aussi par les hommes. Détenteurs de tous les droits civils et maritaux, ce sont eux qui dirigent et dominent, ce sont donc eux qui peuvent donner ou non le droit à leurs homologues féminins de se faire entendre..Parmi ces hommes, deux se distinguent par leurs essais respectifs : Denis Diderot et son essai Sur les femmes, écrit en 1772, et Choderlos de Laclos avec son essai Des femmes et de leur éducation, paru en 1783. Deux essais relativement en avance sur leur temps, plaignant les femmes et leur condition, reconnaissant leurs qualités et dénonçant les injustices dont elles sont les victimes. Mais ils n’étaient