Sujet amené : Arthur Rimbaud a écrit tous ses poèmes à son jeune âge. Pour lui, la poésie est un moyen d’exprimer sa révolte. Rimbaud considérait que le vrai poète est un voyant.
Sujet posé : On retrouve cette idée dans « Aube », les illuminations
Sujet divisé : Ce poème est une expression d’une vision différente représentant le début, le commencement, le moment de la journée ainsi que le début d’une vie. Cette vision est exprimée comme un rêve.
Idée principale 1 : Apport d’une vision différente par l’auteur
Argu.1 : La première phrase montre une conclusion du rêve « j’ai embrassé l’aube d’été ». (Figure de sens métonymie). Le sens d’embrasser est une sorte de cri de victoire après l’exploit du poète. Ensuite il s’ensuit un récit, celui-ci montre que la vision du poète s’ouvre à une vie somptueuse. On retrouve le champ lexical suivant ; « palais », « pierreries ». On sent le ton se calmer et un silence omniprésent ce fait sentir dans le poème avec les terminaisons « é », « ie ».
Argu.2 : L’auteur éveille le jour et les animaux. Celui-ci va éveiller les choses et fait partir la nuit. La métaphore suivante nous le démontre « frais et blêmes éclats ». C’est la lumière qui se lève et qui se voit à travers les arbres. « Frais » car il fait froid à l’aube. Par sa vision, il comprend le langage des fleurs « une fleur me dit son nom ». Il parle aussi avec les animaux.
Idée principale 2 : Le poème est l’expression d’une vision par l’interprétation du rêve.
Argu.1 : la vision du jour est différente, il s’agit d’une course après le jour. Son rêve est de créer le jour, saisir la déesse. Par la métaphore « voiles », chaque minute que le jour gagne sur la nuit, il lève ces voiles de la nuit. Tout nous montre qu’il est dans un rêve, il y a une ville imaginaire : « quais de marbre », « clocher », « dômes »
Argu. 2 : L’auteur attrape le jour et il se réveille. En effet, dans le bois de Laurier, il réussit son rêve, il a envie de connaissance, de tout savoir, mais c’est