Dissertation ayant pour problematique : " cette méthode permettant de faire passer des vérités universelles est-elle réellement efficace? "
1687 mots
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Depuis l'antiquité, les écrivains cherchent à travers leurs récits à nous transporter dans leurs visions du monde. Avec leurs mots, ils peuvent nous transmettre leurs idées, leurs vérités, leurs morales. Pour faire passer leurs messages, les auteurs doivent rendre attrayant leurs récits pour que le lecteur se divertisse tout en assimilant les enseignements que l'auteur cherche à faire savoir. Cette méthode permettant de faire passer des vérités universelles est-elle réellement efficace? Nous verrons tout d'abord les différents genres littéraires et les leçons que l'on peut en tirer, ensuite les avantages que procurent le récit et enfin nous étudierons les éventuels inconvénients de cette méthode.
L'apologue est un genre de récit, souvent court, écrit de façon allégorique qui cherche à argumenter et faire assimiler une morale à celui qui l'a lis. On peut étudier plusieurs formes d'apologues tel que:
La fable; une fable est un texte court en vers, se terminant par une morale. Les personnages de l'histoire sont souvent une allégorie de certaines personnes de la vie de tout les jours. Chaque morale amène le lecteur à s'identifier aux personnages et à comprendre la morale donnée. Comme dans Le lièvre et la tortue de La Fontaine, représentant une tortue lente face à un lièvre rapide s'affrontant le temps d'une course. Le gagnant semble évident cependant la finalité est tout autre. La tortue l'emporte entrainant pour moral que pour mener une chose à bien, il vaut mieux agir calmement, de façon réfléchie plutôt que d'agir précipitamment.
Le conte philosophique; Celui ci est sous forme de texte un peu plus long mettant en scène plus de personnages, un décors et une situation plus étudier. Il possède d'avantage de registre didactique due à sa longueur, il le fait passer par une situation fantaisiste et d'action susceptible d'attirer le lecteur et son attention. Comme on peut le voir dans Candide de Voltaire. Celui-ci utilise beaucoup d'ironie (chapitre IV, ou Candide