Dissertation

Introduction :
La répartition des sexes dans les différentes filières d’étude est souvent très stéréotyper. Les filles se dirigent généralement plus vers des études littéraires ou des formations d’aide à la personne. Les garçons, eux, se dirigent dans des filières plus scientifiques et qui le plus souvent déboucheront sur un métier à plus haute responsabilité.
On peut alors se demander si le sexe influence véritablement la trajectoire scolaire. Pour cela nous verrons dans une première partie l’orientation selon le sexe, puis dans une seconde la réussite selon les sexes.

Développement :
I-
En fonction du sexe de l’élève, son orientation n’est pas la même.
58.1% des élèves en filière générale sont des filles. Et pourtant elles ne sont que 46.3% en filière scientifique qui est pourtant dite «la plus difficile », contre 80.5% en littéraire. Dans une orientation générale où les filles sont majoritaires on peut constater que les filles ont une tendance à se sous-estimer contrairement aux garçons.
On retrouve le même pourcentage de filles et de garçons dans les voix technologique. En revanche contrairement aux filières générales, les écarts entre filles et garçons sont beaucoup plus marqué. On constate que 91.2% des élèves de science et technique de l’industrie sont des garçons ou qu’en science médico-sociale il y a 94.5% de filles. Nous pouvons alors remarquer que les filles se dirigent plus que les garçons vers des voix d’aide à la personne.
Il y a donc une majorité de filles dans les filières littéraires et tertiaires ainsi qu’une majorité de garçons dans les voix scientifique et secondaire.

II-
Le sexe de l’élève n’influence pas seulement son orientation scolaire mais aussi sa réussite. D’après le ministère de l’éducation national, il est vrai que les filles obtiennent de meilleurs résultats aux examens que les garçons.
La première femme bachelière française est Julie-Victoire Daubié. Elle a obtenu son baccalauréat à l’âge de