Dans l’œuvre de Charles Baudelaire on y observe une description des différents moments de sa vie. L’auteur parle spécifiquement d’un ennemi qui symbolise en réalité le temps qui ne cesse de s’écouler dans la vie de Baudelaire. D’abord la nature offre au poète la chance de décrire les différents sentiments éprouvés par celui-ci. Il parle des différentes étapes cruciales de sa jeunesse mais aussi de tous les moments qui l’ont marqué du côté émotif. Il éprouve une grande nostalgie à travers la nature : «Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage» (vers 1). L’allégorie suivante montre le côté abstrait des difficultés rencontré par l’auteur durant sa jeunesse par un ténébreux orage. Le champ lexical de la nature est signalé ici par l’orage. De plus Baudelaire utilise le cycle des saisons pour démarquer les différentes périodes de sa vie. Il schématise clairement sa vie, il la divise la jeunesse, la vieillesse, la mort symbolisé respectivement par l’été, l’automne, et l’hiver : « Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage/Traversé çà et là par de brillants soleils/Le tonnerre et la pluie ont fait un ravage» (vers 1-2-3). Dans ces deux vers on voit la saison de l’été symbolisé par les orages et les brillants soleils. Ont voit également le tonnerre et la pluie qui symbolise la saison des pluies soit l’été. Également, Baudelaire affirme être anéanti par son principal Ennemi le temps. L’auteur le décrit comme une chose qui nuit à son épanouissement : « -Ô douleur! Ô douleur ! Le Temps mange la vie/ Et l’obscure Ennemi qui nous ronge le cœur» (v-12-13) Ces deux vers contiennent chacune une personnification, dans le premier vers ont donne l’importance au mot temps car celui-ci est en réalité l’Ennemi que l’on retrouve au vers suivant. Celui-ci détruit Baudelaire. En somme, le principal symbole du poème de Baudelaire est l’Ennemi qui représente le temps et qui permet à Baudelaire de se défouler de celui-ci qui lui vole son