Dissertation

Nous sommes tous d’accord pour dire que la liberté est notre bien le plus précieux et que nous cherchons toujours à en avoir plus. Alors pourquoi nous acharnons nous à imposer des limites à celle-ci ? Douglas Kennedy retient notre attention sur ce fait, que nous ne remarquons même plus tellement les contraintes font pression, avec sa citation « nous ne cessons de rêver d’une existence plus libre tout en nous enferrant de plus en plus dans les obligations, dans les pièges domestiques ». Nous devons nous poser certaines questions car vivre sous de telles contradictions peut nous déconcerter. Il faut comprendre d’où viennent ces contraintes et quelles sont-elles. Et pourquoi nous voulons avoir plus de liberté et comment vivre celle-ci malgré les paradoxes.
Dans ce monde dans lequel nous vivons actuellement, une dure réelle et incontournable contrainte existe et elle nous empêche de faire tout ce que notre cerveau peut imaginer. Les lois physiques appliquent ainsi un peu d’ordre et évitent que nous sombrions dans le chaos. C’est sous cette contrainte-ci que l’homme voit ses premières contraintes naître au grand jour. Afin d’augmenter ses chances de survie dans un environnement hostile peuplé de toute sorte de créatures sauvages, il commença à chercher de l’assurance auprès des autres êtres humains et vivre en société avec ces derniers. Il est évident qu’il fût contraint à lutter pour la durabilité de sa communauté, s’il tenait à la vie. Cette lutte signifie de nouvelles contraintes. Et il en naisse de plus en plus au fur à mesure que la société évolue. Le propos de Léo Ferré nous l’affirme bel et bien « L’histoire de l’humanité est une statique de la contrainte».
Aujourd’hui, nous sommes contraints à travailler afin de gagner de l’argent. Ce dernier nous éviterait, par exemple, que nous vivions dans la rue, que mourions de faim ou que nous nous fassions mépriser par les autres. Vivre en société signifie suivre ses règles, par exemple : choisir un