Dès la naissance, l’homme est fondé que sur des besoins. Il y a plusieurs besoins qui sont les besoins primaires, les besoins secondaires et les besoins d’accessoires.
La dernière manière de besoins est de satisfaire par la consommation, en se fournissant des biens et des services.
Dans une première partie je vais vous aborder les significations sociales et symboliques de la consommation. Dans la deuxième partie je caractériserais les évolutions récentes de la consommation et du consommateur avant de vous montrer les risques auxquels sont exposés les ménages. Et pour terminer à travers deux exemples, je vous montrerai pourquoi le droit de la consommation protège le consommateur.
Les connotations sociales peuvent être de plusieurs échelles différentes : individuelles, interpersonnelles ou socioculturelles. Les niveaux de significations sociales dépendent en fait des connotations symboliques dont l’homme embellit. Consommer est une façon de se poser des questions sur les produits. D’une manière globale et nationale, les dépenses de consommation, par les temps de crise économique actuel sont brutalisées par le pouvoir d’achat des ménages.

Comme l’énonce Lhalou : ‘’la vie en société ne se limite pas aux besoins matériels immédiats de l’individu. Les fonctions sociales prennent d’autant plus d’importance que les fonctions vitales sont assurées’’. En d’autres termes, la société française dans laquelle nous vivons a atteint théoriquement un seuil où les besoins primaires et secondaires peuvent être facilement accessible, à tel point que le consommateur moyen peut se permettre des luxes (communication, loisirs, culture, hôtels, cafés, restaurants, représentent presque15 % en 2000 alors qu’il ne représente que 13 % en 1960, par ailler l’alimentation pesait 23,2 % dans le budget en 1960 et n’est plus que de 11,4 % en 2000.) Mais l’invasion la plus récente et la plus flagrante dans le panier de la ménagère est la consommation liée aux biens et services des