Dissertation finale de philo
Aristote: a.
Par conséquent, la vertu est un état décisionel qui consiste en une moyenne, fixée relativement à nous. C’est sa définition formelle et c’est ainsi que la définirait l’homme sagace. D’autre part, elle est une moyenne entre deux vices, l’un par excès, l’autre par défaut. [... ] p.116 [... ] si nous posons que l’office de l’homme est une certaine forme de vie (c’estàdire une activité de l’âme et des actions rationnelles), mais que s’il est homme vertueux, ses oeuvres seront parfaites et belles, [... ] le bien humain devient un acte de l’âme [... ] qui traduit la plus parfaite et la plus finale. p.71 Platon: a.
Mais si la plupart des gens prennent conscience que nous disons la vérité au sujet du philosophe, demeurerontils hostiles aux philosphes et se manifesterontils de nous quand nous affirmons qu’une cité ne connaîtra jamais autrement le bonheur si l’esquisse n’en a été tracée par ces artistes peintres qui travaillent selon le modèle divin? 500e [... ] pour les objets de connaissance, ce n’est pas seulement leur cognoscibilité que manifestement ils reçoivent du bien, mais c’est leur être et aussi leur essence qu’ils tiennent de lui, même si le bien n’est pas l’essence, mais quelque chose qui est audelà de l’essence, dans une surabondance de majesté et de puissance. 509c
L’idée du bien est rechercher par le philosophe puisque qu’elle amène à un certain bien comme le bonheur.
2) Tous sontils amis?
Aristote:a.
Mais quand
[l’amitié] elle se fonde sur les propres personnes ellesmêmes, l’amitié n’est évidemment possible qu’entre les hommes de bien, car les gens mauvaises ne tirent pas de joie de leurs personnes à moins de quelque avantage qui en résulte. p.419 Par ailleurs, être l’ami de beaucoup de monde ne se conçoit pas dans le cadre de l’amitié achevé, tout comme on ne peut on plus désirer de façon sensuelle beaucoup de personnes en même