Dissertation finale - marijuana
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La marijuana est de plus en plus populaire dans les diverses populations du monde entier. Cette drogue qui apporte quelques effets d’euphorie et de relaxation, intéresse un grand pourcentage d’individus. Avec l’essor de la popularité de cette drogue dite douce c’est-à-dire, une drogue considérée comme n’ayant que des effets mineurs sur l’organisme est cependant illégale dans la plupart des régions du monde. Les lois qui régissent sur la consommation et sur la possession de cette drogue dans ces pays sont pour la plupart très sévères et entraine des conséquences graves (prison, casier judiciaire, etc.). Plusieurs groupes partout dans le monde tentent de se mobiliser pour rendre cette drogue légale. Par exemple, au Québec, le Bloc Pot, un parti politique qui a pour principal objectif de légaliser la marijuana, tente de promouvoir les bons côtés de la légalisation de cette drogue : les avantages économiques, les avantages touristiques, etc. Bien entendu, les autorités de la santé publique viennent toujours remettre en avant plan les impacts néfastes qu’entraînent la consommation de la marijuana : la dépendance, les diminutions des capacités pulmonaires, etc. Dans le texte qui suit, je tenterai de répondre à la question suivant : quelle politique devrait adopter le gouvernement québécois par rapport au cannabis entre la répression, la dépénalisation et la légalisation. Pour bien vous expliquer les différences entre ces trois politiques, je vous les expliquerai les unes après les autre pour que vous puissiez vous faire une idée de quoi il s’agit. Par la suite, je vous expliquerai laquelle est la meilleure selon moi.
Premièrement, la répression consiste à ne pas avoir le droit de consommer, ni de posséder de la marijuana. Au Canada, c’est présentement cette politique qui est appliquée. Puisque c’est une loi, dans sanctions peuvent s’appliquer à ceux et celles qui ne s’y conforment pas. Sur le site Web du Gouvernement du Canda, les conséquences liées à la