Le roman est le genre littéraire le plus répandue, en effet depuis le XIIème siècle il est très utilisé sous forme de prose. Ce dernier est à l’origine des plus grandes œuvres de la littérature tel que Les Rougons Macquart de Zola, Les Essais de Montaigne voire Candide de Voltaire. D’ailleurs pour chacun des romans il existe un moment clé, surement le plus essentiel de tous : L’Incipit, autrement dit le commencement du roman. Par conséquent nous pourrions nous demander quelles sont les qualités nécessaires au début d’un roman . C’est pourquoi nous examinerons tout d’abord la maîtrise de l’art de la présentation ensuite nous étudierons de manière précise comment l’Incipit suscite chez le lecteur l’envie de lire . I) La présentation avant toutes choses : Non rédigé Transition : L’auteur en révélant une partie des thèmes de son œuvre prend le risque d’anéantir tout plaisir de découverte. Pour lutter contre cela, une grande partie des œuvres romanesques gardent une part d’ombre, de mystère, de suspense ! Tout cela a lieu dans un seul but : Susciter l’envie de continuer la lecture chez le consommateur. En effet, Georges Simenon avec ses œuvres : Le Chien Jaune et Les trois crimes de mes amis nous présente une tout autre vision que Sartre. En effet, les diverses affirmations de ces incipits nous démontrent que Simenon s’amuse du lecteur en lui mettant une partie de l’histoire sous les yeux. Seulement pour savoir la suite il faut lire encore et toujours lire ! Par exemple dans Le Chien Jaune celui-ci dit : « Au cours de l’enquête » le lecteur interprète alors tout de suite cela comme une présence policière et donc comme un crime. De nombreuses questions apparaissent : Quel crime ? Qui est mort ? Pourquoi ? Quand ? Où ? Comment ? Le lecteur se doit donc de continuer l’œuvre alors l’auteur renouvelle mais cette en s’exclamant : « La sensation qu’il s’était passé quelque chose ! ». Immédiatement le lecteur souhaite savoir de nouveaux ce qu’il s’est passé ! On parle alors de