En premier lieu , les deux poèmes se ressemblent puisque les deux personnages souffrent de l'amour fou qu'ils éprouvent envers les deux femmes. En effet dans « l’amour qui n’est pas un mot » de Louis Aragon, l'amour fou , souvent associé à un coup de foudre, est un amour irrationnel et de divagation ainsi qu’un manque de jugement : « De vivre encore et de connaitre Notre histoire jusqu’à la fin » le personnage veut vivre sa vie avec la fille jusqu’au dernier moment de son existence » (ligne 19-20) , « C’est miracle d’être ensemble / « blême / débile / Tu me rends la soif et la faim » (ligne 2) . Cet amour le fait renaître et le rend fou. Cette femme est l’ombre de lui-même d’où l’irrationalité nommé précédement. Bref, il est tourmenté par cet amour qui est son amour envers Elsa. Par la suite dans le texte de Paul Éluard, il crée une image de la femme parfaite en disant : « lèvres d’or / Tes mots d’auréole ont un sens si parfait / Que dans mes nuits d’années, de jeunesse et de mort » (ligne 1 à 3). Ces citations viennent dire qu’elle a des lèvres parfaites et la métaphore vient comparer cette femme à une sainte. Le dernier ver cité est une antithèse formée par les mots jeunesse et mort et qui représente que cet amour traversera le temps. Pour conclure cet aspect, oui les deux poètes vivent un amour fou semblable mais le poème d'Aragon illustre un amour reconnaissant alors que celui d'Éluard parle d'un amour irrationnel, car il est emprisonné par cet