tr I) Les limites du metteur en scène. | II) Les libertés du metteur en scène. | II) Quand l’auteur devient metteur en scène. | IV) Il faut néanmoins que malgré toutes ces libertés et ces limites le metteur en scène arrive à faire passer son message et qu’il réussisse à satisfaire son public

Le metteur en scène se doit de faire plusieurs choses :-respecter l’esprit de la pièce-respecter le ton de la scène (du comique, du tragique, de la farce, du dramatique, de l’ironie...)-respecter les didascalies-ne pas être trop dénonciateur sous peine de répercutions tels que la censure ou l’emprisonnement (exemple Molière avec Tartuffe.)-le metteur en scène obéit tout de même à l’auteur, même si celui-ci peut parfois changer le sens des mots, il ne peut pas changer le sens de l’œuvre.-le metteur en scène doit se plier à des limites de temps. (exemple : Le soulier de Satin de Paul Claudel. Cette pièce a duré 11heures, et finalement, celle-ci n’a jamais été jouée.) | Mais le metteur en scène a toutefois la possibilité de faire vivre son imagination et son interprétation de la pièce.-libertés au niveau de la situation de la pièce, en ce qui concerne l’époque.-Une liberté bien-entendu de mise-en-scène en intégrant par exemple de la danse (comme dans certaines pièces espagnoles où des metteurs en scène choisissent d’intégrer des claquettes), ou du chant. Il y a également le genre populaire ayant révolutionné le XVIIème siècle, née en Italie en 1528 avec la première comédie en prose d’Angelo Beolco qui est la Commedia dell'arte. Ce genre a inspiré de nombreux auteurs tel que Molière.-une liberté au niveau des personnages et du décor (ex : on ne badine pas avec l’amour le cœur n’est joué que par un seul personnage, alors que l’on pourrait s’imaginer qu’il y en a plusieurs. En ce qui concerne le décor également, il y a pour décors un pont mis de tout les points de vues possible au fil de la pièce.)-Au niveau des didascalies, il faut les respecter, certes, mais le metteur en