dissertation philosophie
Antonio Damasio vient détruire la conception dualiste de Descartes, qui disait que l’esprit était distinct du corps et du cerveau et que l’esprit habitait une partie de notre cerveau sans être une chose matérielle pour autant. Antonio Damasio, au contraire de Descartes, vient évoquer que le corps et l’esprit ne font qu’un, ce ne sont pas deux choses distinctes, mais bien un tout matériel. Damasio vient dans son texte détruire la célèbre phrase de Descartes qui est «Je pense, donc je suis», car il dit qu’avant le début de la race humaine, il y a des organismes qui ont vécu et ceux-ci avaient des fonctions mentales de base, donc ils ne communiquaient pas et ne pensaient pas vraiment. Avec le temps, la pensé et la communication se sont instauré, il en est donc venu à la conclusion que nous avons existé avant de penser. Il fait également le parallèle avec notre développement depuis la naissance, nous commençons par exister lorsque nous sommes jeune et par la suite la pensé s’installe peu à peu. Il dit donc, nous sommes, et ensuite nous pensons. Il dit également que l’on peut voir les effets d’une profonde douleur ou d’une grande tristesse, qui sont des manifestations présentent dans l’esprit, lorsque l’état s’éternise, viennent à avoir un effet sur le corps. Ces états relatifs à l’esprit viennent développer des conséquences physiques, matérielles comme avoir des conséquences sur le système immunitaire, engendrer des infections ou aider au développement d’un cancer. Comme les exemples précédents sont tous des manifestations relatives au corps, l’auteur fait remarquer qu’il y a donc un lien très ferme entre le corps et l’esprit. Damasio, vient également dire que si on en apprenait plus sur nos émotions, plus du côté physiologique, nous pourrions contrôler de nombreuses maladies de nature psychiatriques au lieu d’essayer de les guérir avec de nombreux médicaments. Il dit que comme le corps à un lien avec l’esprit le fait d’en apprendre sur nos émotions