En ce monde, certains pensent que leurs vies vaillent la peine d’être décrite, moi, je me dis que cela ne me concerne pas et l’on ne peut pas dire que les mémoires de certains, soient d’un intérêt quelconque. C’est pour cela, que je ne me place pas en ressasseur d’un passé inintéressant, mais plutôt dans l’optique d’une critique farouche de la société bourgeoise d’un quartier riche de notre belle Paris, une ville cosmopolite et emprunte d’une réelle conviction de rassembler. On peut être d’accord avec moi ou non, cela me concerne ? Répondez non, sinon, ces lignes ne vous serviront même pas pour vos petites affaires. L’idée d’écrire ce court texte, m’est venue d’une histoire commune à tous : Celle d’un égo surdimensionné, réciproque à tout être doué de raison en France (ils ne sont pas nombreux !). On peut donc parler d’un égocentrisme, que je tiens d’un environnement baigné dans la paresse du travail malheureux, et la délicatesse d’un foyer chaleureux … En effet, je suis un exemple typique d’un gauchiste bobo qui aime à faire le malin en clamant l’égalité pour tous, tout en briguant une flemmardise et une paresse dominante. Ce que je vais dire, peut paraître étrange, mais je ne me connais pas. Je ne sais pas si je dois me sentir concerné par moi-même, et j’édifie ces lignes d’un pur pragmatisme véreux pour que l’on me juge à ma fausse valeur que j’essaie de véhiculer. Je ne m’improvise pas philosophe, ni écrivain, ni même journaliste, mais seulement en tant que personne capable de raison, car la raison n’est-elle pas le point commun à toutes les intelligences de ce monde-là ? Je ne pense pas que ma vie passionnera les convoitises, les jalousies non plus, après tout, je suis d’un commun insolent. Oui, j’aurais préféré avoir le style d’orateur d’un De Gaulle au sommet, ou même l’intelligence d’un grand Pompidou, mais non, je ne suis que l’ombre d’un semblant de politique socialiste et libérale en même temps. Je possède un discours contradictoire, et citer