Les romans, qu'il soit du genre romantique, science-fiction, fantastique ou bien d'autres, ont toujours mit en évidence des personnages inspirés du réel pour certains, comme chez Zola avec « Germinal », et pour d'autres, des personnages inventés de toutes pièces, comme «Bilbo le Hobbit » de J.R.R Tolkien. Est-ce que les personnages ont un plus grand intérêt lorsqu'ils sont inspirés du réel? Cela a vraiment de l'importance? On peut voir que le réel et l'irréel dispose tout deux d'intérêts.

C'est vrai qu'imaginer sa vie, qui paraît si ennuyante et vide, à la place d'un des personnages du roman que vous êtes en train de lire, qui lui à tout d'une vie parfaite, riche, beau, les filles, les amies. En clair, la vie rêvée. Ce personnage de rêve, a été imaginé un bon nombre de fois par beaucoup d'auteur. Francis Scott Fitzgerald avec son livre « The Great Gatsby », en français « Gatsby le magnifique », a lui réussit à créer de toutes pièces ce personnage rêvé auxquels bon nombres de lecteurs se sont imaginés à sa place. L'intérêt d'un personnage irréel, peut aussi être de découvrir le monde d'un point de vue totalement imaginaire. Voir les choses comme l'auteur l'a écrit, être libre de s'imaginer ce que l'on veut puisque cela n'a pas lieu d'être. J.R.R Tolkien, avec sa trilogie du « Seigneur des Anneaux », a voulu nous montrer à travers les yeux de personnages imaginaires, sa vision à lui de voir les choses. Ensuite chacun peu émettre son point de vue sur ce genre de roman, sans jamais pouvoir penser la meme chose. Mais contrairement aux personnage irréels auxquels on souhaite ressembler, on peut s'identifier à certains personnages tirés du réel, à qui ils sont arrivés de bonnes choses ou bien de terribles de choses. C'est ce que raconte « L'herbe bleu », qui est le journal intime du adolescente ayant eu des problèmes avec la drogue. Beaucoup de jeunes de nos jours s'identifient à ce genre de personnages, problèmes familiaux, d'alcools. Ou même des livres