Dissertation d'histoire
Parallèlement se développe des emplois à temps partiels souvent non-choisis, des emplois temporaires comme les CDD et les missions d’intérims => 7% des salariés, des stages non rémunérés.
=> Une société a 2vitesses s’est installées : ceux qui ont la stabilité de l’emploi (fonctionnaires,…) et les salariés qui sont confrontés a la précarité et qui doivent vivre des minima sociaux (RMI, RSA... => environ 3,3millions)
3. La hausse du niveau des qualifications mais une mobilité sociale plus difficile.
Les cadres et les professions intermédiaires sont de plus en plus nombreux dans la population active depuis les années 70. En effet, il y a une démocratisation de l’enseignement et une hausse des qualifications. Ainsi la proportion des bacheliers dans une génération, approche les 65%.
Toutefois, la mobilité sociale est plus difficile du faite de la conjoncture économique : à côté des emplois tertiaires les plus qualifiés et les mieux payés, on trouve de nombreux emplois mal payés et offrant moins de possibilité de promotion.
D’autre part, on s’aperçoit que l’éducation ne joue pas son rôle d’ascenseur social : les enfants d’ouvriers se dirigent plutôt vers des filières courtes alors que les enfants de cadres continus à être sur représentés dans les filières longues et les plus prestigieuses (classe prépa, ENA,…)
II) L’immigration et la société française
A. Le développement d’une immigration de masse (1851-1975)
Etude de cas : l’immigration Polonaise en France (p55)
1 : En 1919, la France manque de main d’œuvre => elle recrute des Polonais. Salaire garanti, protection assurée pour les salariés. C’est