Bonjour à tous. Je vais aujourd’hui vous parler d’un sujet que nous qualifierons de sensible dans notre société actuelle et vais commencer simplement mais directement : Qu’avez-vous à réfuter quant à la légitimité de la transidentité ? Pour comprendre l’enjeu du débat, il faut comprendre ce qu’est la transidentité. Premièrement, il faut savoir que le genre n’est pas automatiquement lié au sexe et donc aux parties génitales d’un individu. Le genre est une construction sociale, un concept, une idée …afficher plus de contenu…

Il faut aussi comprendre qu’un individu n’est pas forcément d’un genre binaire, c’est-à dire homme ou femme mais qu’il peut aussi être non-binaire. Ces notions peuvent cependant rester abstraites pour une majorité d’entre-vous et c’est donc pour cela que je ne m’éterniserai pas davantage sur ce sujet afin de conserver un maximum d’attention de votre part, compte-tenu des informations allant être énoncées. Comme ces termes bousculent les schémas dits « habituels », de nombreuses critiques émergent. La première, nous dit on souvent, « c’est un effet de mode ». La transidentité est un mouvement que l’on commence enfin à aborder dans notre société ce qui fait que les individus concernés ont simplement « plus de facilités » à …afficher plus de contenu…

Au passage d’ailleurs, réduire les femmes (ou les hommes) à leurs capacités reproductrices est l’argument le plus réducteur et sexiste possible et montre le peu de répartie présent chez ces individus. D’ailleurs, qu’est-ce qu’un « vrai » homme ou une « vraie » femme pour vous ? Car finalement, je doute que les critères allant être énoncés ne soient valides sachant qu’un homme, qu’il soit grand, danseur, handicapé ou bien transgenre reste un homme car le ou les adjectifs qui lui sont associés ne font que définir une partie de l’individu ou de son parcours. Désormais, permettez-moi de vous reposer un question, à vous, vous qui préférez sortir des phrases vues et revues sans même tenter de comprendre l’enjeu du débat :Qu’avez vous à réfuter quant à la légitimité de la