Premier texte ; André Thevet, Les singularités de la France antarctique (1557). 1. André Thevet n’a pas rencontré les Amazones lui-même, il décrit la manière dont des espagnols l’ont fait à sa place, car il était malade. Nous l’avons observé avec “nous avons plusieurs histoires à ce sujet” et “ils arrivèrent en une où il se trouva les Amazones”2. Thevet était un explorateur. En notant l’absence de textes historiques portant sur ces Amazones, il nous …afficher plus de contenu…

Composée de femmes uniquement ; car les Amazones tuent tous leurs fils, cette troupe a des origines assez méconnues, provenant d’Asie mineure pour certains, d’Afrique pour d’autres.4. Se basant sur plusieurs histoires anciennes, Thevet déduit que les Amazones sont “tant grecques que latines”. Contrairement à une majorité d’auteurs ayant cherché une origine unique aux Amazones, la thèse d’André admet plusieurs peuples d’Amazones distincts.5. Durant l'expédition colonialiste du vice-amiral Villegagnon, Thevet est aumônier, il doit donc se charger de l’instruction religieuse des autochtones. Cette place s’explique par …afficher plus de contenu…

L’auteur affirme que les Toüoupinambaoults n’ont rien de velu comme le décrivaient les visiteurs antérieurs du Brésil. Ils pensaient ce peuple poilu à cause du duvet et des petites plumes de poule teints en rouge avec lesquels ils étaient recouverts, ces explorateurs n’avaient simplement pas regardé d’assez près. De Léry, quant-à-lui, s’est beaucoup renseigné durant une expédition d’une année ; pendant laquelle sa curiosité lui a permis de développer une certaine familiarité avec cette tribu brésilienne. Mais malgré son expertise, il reste soumis à une certaine difficulté à représenter ces autochtones en écrit ou en peinture à cause de l’écart de mœurs trop important entre sa culture française et la leur.2. Dans son livre, Jean de Léry explique d’abord la force physique et la santé de fer des Toüoupinambaoults par la pureté de leur environnement. Selon lui, le Brésil est un pays au climat et à l’air bons, dans lequel la nature est toujours verdoyante : l’eau y est selon lui