Dissertation sur l'oral de français
Intro Situé à la fin du Pstbl, cet extrait clôt quasimt l’œuvre, en changeant de ton : loin des considérat° générales sur la condit° féminine, G propose le récit d’1 anecdote perso supposée faire « rire ». …afficher plus de contenu…
Enfin, l’auto-promotion à laquelle G se livre en finissant sa phrase fait sourire, mais mérite qu’on s’y arrête : « la femme auteure de tant de bienfaisance et d’équité ». Certes, on peut identifier une évidente vanité ; mais la référence à la bienfaisance vise sans dte à rappeler aux Parisiens que G s’est fait connaître par des affiches avant la révolution, précisément pour proposer des moyens nouveaux de collecter de l’argent, y compris en vendant ses toilettes, afin de secourir les Parisiens les + pauvres qui souffraient de famine. G se présente ainsi comme un « être équitable » par ses actes au profit du peuple.
C’est donc surtout en femme combattive qu’elle se peint ds cette anecdote. G montre en un …afficher plus de contenu…
La comparaison entre le vêtement et la conversation du commissaire s’ajoute au portrait péjoratif du juge : « en redingote poudreuse et dégoûtante cô.sa conversation » (l.
333-334). Enfin, la périphr « ce moderne Brid’oison » (l. 337) fait référence à un personnage de juge ridicule et sot représenté en 1785 ds Le Mariage de Figaro, où Beaumarchais dénonçait les abus de pouvoir, avec un très fort retentissemt, à Paris d’abord, puis dans tte l’Europe. « Moderne » par son titre nouveau de « commissaire de paix », l’homme qui mésuse de son pouvoir doit être ridiculisé pour que la société puisse évoluer vers une + gde