Le couple Don Juan/ Sganarelle est inséparable et c'est bien là que réside le paradoxe de leurs relations : en la présence de son maître, le valet oublie qu'il n'est qu'un "pauvre type". Il a besoin de le voir pour l'imiter, de le suivre pour avoir l'impression de lui ressembler. Sganarelle vit à travers de Don Juan : il est très rare qu'il utilise la première personne du singulier et il se définit à travers lui et ce dés la scène 1 de l'acte I. Il est fasciné par son maître et ne pourrait plus se passer de lui. Nous comprenons mieux sa tristesse à la mort de Don Juan à la scène 6 de l'acte V (p. 127) : "Il n'y a que moi de malheureux".Le couple Don Juan/ Sganarelle est inséparable et c'est bien là que réside le paradoxe de leurs relations : en la présence de son maître, le valet oublie qu'il n'est qu'un "pauvre type". Il a besoin de le voir pour l'imiter, de le suivre pour avoir l'impression de lui ressembler. Sganarelle vit à travers de Don Juan : il est très rare qu'il utilise la première personne du singulier et il se définit à travers lui et ce dés la scène 1 de l'acte I. Il est fasciné par son maître et ne pourrait plus se passer de lui. Nous comprenons mieux sa tristesse à la mort de Don Juan à la scène 6 de l'acte V (p. 127) : "Il n'y a que moi de malheureux".Le couple Don Juan/ Sganarelle est inséparable et c'est bien là que réside le paradoxe de leurs relations : en la présence de son maître, le valet oublie qu'il n'est qu'un "pauvre type". Il a besoin de le voir pour l'imiter, de le suivre pour avoir l'impression de lui ressembler. Sganarelle vit à travers de Don Juan : il est très rare qu'il utilise la première personne du singulier et il se définit à travers lui et ce dés la scène 1 de l'acte I. Il est fasciné par son maître et ne pourrait plus se passer de lui. Nous comprenons mieux sa tristesse à la mort de Don Juan à la scène 6 de l'acte V (p. 127) : "Il n'y a que moi de