Dissertation
917 mots
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Les trois textes du corpus sont des textes du XIX et du XXème siècle. Ce sont tous desextraits. En premier, Thérèse Raquin d’Émile Zola du XIX , ensuite La comédie humaine d'André
Malraux et enfin, L’Étranger de Camus du XX. Nous verrons comment la nature intervient-elle
dans ces trois extraits.
Ces trois extraits de roman ont un point commun inévitable. En effet, dans ces trois
extraits, un meurtre intervient. Dans chaque extrait, la nature joue un rôle important car elle
permet aux différents assassins de se cacher des regards indiscrets ou de les pousser à assassiner.
Dans Thérèse Raquin d’Émile Zola, la nature permet à Laurent de se cacher car ils sont en plein
milieu de la montagne sur un cours d'eau, au crépuscule. Dans La comédie humaine d'André
Malraux, c'est la nuit qui aide le jeune chinois Tchen à commettre l'irréparable et enfin, dans
L’Étranger de Camus, c'est le soleil,substitut du père, qui pousse Meursault à tuer un arabe qui ne
lui a rien fait.
La nature, dans ces trois extraits, est indispensable pour que ces trois différents criminels
puissent pouvoir se cacher
Lorsqu'il parcourt un roman, le lecteur a tendance à s'identifier au personnage principal, que son portrait soit négatif ou positif. Est-ce que cela est toujours nécessaire pour l'appréciation d'un roman. Nous verrons tout d'abord quels sont les intérêts pour le lecteur de s'approprier le personnage principal et dans une seconde partie, nous verrons si le partage des sentiments avec le protagoniste est vraiment nécessaire pour l'appréciation d'un roman.
Le lecteur, quel que soit le portrait du protagoniste présenté par le romancier, essaye toujours
de s'approprier ce personnage. Quand le portrait du personnage est négatif, cette négativité peut
être une force car le lecteur sent que le personnage lui ressemble,qu'ils ont des points communs
ensemble. Le protagoniste peut parfois même être considéré comme