Mon rêve.

Epilogue :

Voilà, enfin, je suis devant mon ordinateur à écris ces lignes, aussi vite quelles arrivent. Vous devez vous dire, au mon dieu sur quoi suis je tomber. Quel entrer grossière et malvenu. Une gamine de 15 ans peut faire mieux. Voyez-vous j’en n’ai 13. Je vous demanderai de continuer à lire ces pages, je n’ai peu être que 13 ans, peu être que je n’écris pas comme Balzac, Victor Hugo ou encore moins Céline ( surtout pas comme Céline) mais cela n’empêchera pas d’être intéressant. Je doute que ce que je suis sur le point d’écrire va être lu. Au début j’écrivais des petites histoires sans importance, juste pour améliorer mes notes, au niveau de l’expression écrite, car dans la famille nous n’avions aucun don pour l’écriture jusqu’à un jour, il y a quelque mois de cela. Mes notes ce résumer à 12, à peu près. Je crois que c’était un lundi ou mardi peut être même un mercredis mais quelle importance. J’avais écris une rédaction, dans la quelle j’avais rédiger une vague histoire d’amour entre deux parisiens. Je l’avais écris d’une façon bien original. Histoire de provoquer mon professeur mais pas assez pour quelle me mette une note en dessous de la moyenne. Bizarrement. Elle a adorait. Meilleure note de la classe, touts les intellos (comme on les appelaient) me regarder avec un regard noir remplis de surprise. Je dois avouer que moi aussi j’étais pleine de surprise. Après ce jour, toute mes notes en français avait grimpés, j’avais à chaque fois la meilleure note en rédaction, et puis à la fin de l’année, après nous avoir rendu une autre de nos rédaction, ma professeur est venu me voir pour me conseiller. Toute émerveillait.
Elle me disait de commencer à écrire des histoires, sans début, ni fin, mais qu’elles aient, quant même un sens. Depuis je ne fais que écrire des histoires sans début, ni fin. Jusque qu’au moment où j’en n’avais marre d’écrire des