Dissertation
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Physiologie du bonheur[modifier]
En considérant l'homme comme une machine chimique, certaines molécules telles que la dopamine et la sérotonine contribuerait à des "parties" de bonheur. En effet, lorsque le bonheur est absent, on peut parler de malheur, et en terme clinique, de depression. Les antidepresseurs actuels (ISRS) agissent sur la dégradation de la sérotonine, entraînant une augmentation de sa concentration dans la fente synaptique. Au bout d'un certain temps, le sujet à une depression retrouve un certain "bonheur", une certaine joie de vivre. Le temps de réaction de l'individu par apport a la concentration en sérotonine (environ 2 semaine) laisse à penser que le processus de bonheur est beaucoup plus complexe qu'une simple concentration en une seule molécule. Par ailleurs, le bonheur intense que fait ressentir certaines drogue comme l’héroïne, montre que les endorphines endocrines et les molécules opiacés ou opioides (dérivés synthétiques) sont, de par leur concentration un facteur clé régulant le bonheur de l'individu. L'héroine par exemple est ressenti par les utilisateurs comme étant Le bonheur, absolu et intense ce qui montre que également que le bonheur, comme tout sentiment humain, reste, pour la science, de simples réactions chimiques.
Le bonheur est un état durable de plénitude et de satisfaction, état agréable et équilibré de l'esprit et du corps, d'où la souffrance, le stress, l'inquiétude et letrouble sont absents.
Étymologiquement, ce mot vient de l'expression « bon eür ». « Eür » est issu du latin augurium qui signifie « accroissement