Le XVIIIè siècle, siècle des Lumières, est celui où les auteurs se sont le plus engagés car la philosophie de ce siècle était d'utilisé la raison pour écrire. Ils devaient donc développer leur point de vue, de façon direct ou indirect, en tentant de convaincre le lecteur d'adopter un point de vue différent. Lors d'un discours en mémoire du centenaire de la mort de Voltaire, Victor Hugo, écrivain engagé du romantisme à écrit : « Voltaire, seul, déclara la guerre à cette coalition de toutes les iniquités sociales, à ce monde énorme et terrible, et il accepta la bataille. Et quelle était son arme ? Celle qui a la légèreté du vent et la puissance de la foudre. Une plume. ». Ainsi, l'auteur a rendu hommage à Voltaire. Nous pouvons nous demander si la littérature, art du verbe, a un pouvoir d'action réel. Après avoir expliquer que les auteurs n'ont pas tous la possibilité d'utiliser l'écriture comme une arme, nous verrons qu'il en existe un certain nombre qui utilise leur plume pour le bien de la société.
De nombreux écrivains ne souhaitent pas défendre leurs idées ou opinion lorsqu'ils écrivent. Certains n'en avaient pas la possibilité car jusqu'au XXè siècle de nombreuses personnes ne savent pas lire ni écrire, seuls les plus aisés avaient la possibilité d'étudier.
Ainsi, les récits des écrivains n'étaient pas souvent lu et donc leurs idées peu partagées. De plus, à une époque la censure était fortement présente ce qui empêchait les personnes d'écrire se qu'elles voulaient au risque de représailles. Prenons l'exemple de la période de guerre où tous les articles de journaux été vérifiés avant d'être publié pour qu'aucune information importante ou confidentielle ne soit divulguer. Lors de la guerre d'Algérie par exemple les journaux évoquant les actes de torture ont été censurés.
De nombreux auteurs ne souhaitent tout simplement pas s'engager, ils ne souhaitent écrire que pour laisser une trace de leur passage sur terre et décident donc décrire des