Dissertation
FREN*2060
0843174
Le 21 novembre 2014
S. Nutting.
La manifestation de l’avarice des autres vices : Un homme et son péché
Nombre de mots : 1041
Le sujet de l’avarice était très pertinent dans l’époque des années 1940 et de la grande dépression. Dans le roman Un homme et son péché de Claude-Henri Grignon, le narrateur a utilisé l’avarice pour décrire le personnage principal, Séraphin Poudrier. L’avarice de Séraphin manifeste d’autres mauvais vices. L’avarice développe son égoïsme, et son incapacité d’être altruiste. De plus, l’avarice a exposé un personnage irrationnel dans Séraphin, parce qu’il est consommé par son argent. Enfin, l’avarice a développée sa tendance à être inconsidéré, parce que la seule chose qui est important de lui est l’argent. Cette dissertation propose que l’avarice du personnage de Séraphin Poudrier mène à d’autres vices comme l’égoïsme, irrationalité et d’être inconsidéré.
Initialement, à cause de l’avarice extrême, Séraphin est très égoïste. Toutes ces actions doivent le bénéficier. Dans un article qui compare de personnages comme Séraphin, L’auteur remarque que il a « la même soif maniaque de l'or le même intégral égoïsme, les mêmes tourments aussi pour la sécurité de leur trésor » (Dantin, 9). Premièrement, il évite certains nécessités élémentaires parce qu’il pense
Ross 2 qu’elles couteront trop cher. Quand sa femme, Donalda, est très malade, il ne cherche pas très fort pour un docteur pour l’aider. Après une discussion à propos de la recherche d’un curé, Séraphin a pensé que, comparé à un docteur :
« Puis, il économisait quand même deux belles piastres, et certainement davantage. (…) C'est vrai que sa femme était malade, mais c'est le sort de tout le monde, et on n'en meurt pas. Tantôt il se réjouissait d'avoir sauvé deux piastres ; tantôt il souffrait terriblement á la pensée que ca pourrait peut-être lui en coûter dix» (Grignon, 78).
Évidemment, Séraphin n’est pas très attaché à Donalda, et sa première