dissertations
Au vers 2, le « mais » introduit l’idée du Spleen plus clairement. La montée de la tristesse est comparée à la marée.
Au vers 3 et 4, la métaphore du « limon » pour la salive. Une femme a donc fait du mal au poète « laisse […] le souvenir cuisant ». Sens du goût.
Le terme « morose » est une hypallage (attribuer à certains mots d'une phrase ce qui se rapporte à d'autres mots) pour parler de l’humeur triste du poète.
Le rythme est irrégulier. Les césures ne sont pas régulières :
Vers 1 à 9/3
Vers 2 à 6/6
Vers 3 à 2/4/6
Vers 4 à 6/6Au vers 5, le tiret met en évidence ce vers qui pourrait s’apparenter à l’Idéal à renforce l’idée d’inutilité.
Au vers 6, il y a le terme « amie ». Quelqu’un le réconforte. Au vers 6 et 7 son cœur est un « lieu saccagé par la griffe et la dent féroce de la femme » à une femme l’a fait souffrir.
Au vers 8, le poète dit que les bêtes ont mangé son cœur. Métaphore des « bêtes » pour parler des femmes.
Le rythme est irrégulier. Les césures ne sont pas régulières :
Vers 5 à 6/6
Vers 6 à 4/2/6
Vers 7 à pas de césure
Vers 8 à 6/6
Enjambement entre les vers 6 et 7.
Au vers 6, les allitérations en ‘f’ et en ‘r’ soulignent le carnage.
Premier tercet :
Au vers 9, le cœur est un « palais flétri par la cohue ». Le palais a donc perdu toute sa splendeur à cause du carnage qui y a eu lieu. Cela souligne l’idée de la destruction qu’a causée la femme au poète.
Au vers 10, il y a une description du carnage.
Au vers 11, le tiret met en évidence ce vers qui pourrait s’apparenter à l’Idéal. Les trois petits points montre l’évaporation du