M. Duroy proposa à Mme de Marelle si elle voulait qu'il la raccompagne jusqu'à son domicile, celle-ci accepta en prétextant qu'elle ne retrouverai pas son chemin. Les deux saluèrent les Forestier, et Mme de Marelle, sur le chemin conduisant à sa maison, se retrouva seule avec Georges. Mme de Marelle allait être enfermée dans ce petit fiacre, en compagnie de Duroy pendant un petit bout de temps, mais cela ne semblait pas lui déplaire, bien au contraire. Ils étaient là, assis, sans aucune parole. « va t'il oser faire le premier pas ? » se demandait, Clotilde, repensant au dîner plein de « ? » qui avait précédé. Mais il pensait peut-être comme elle, que cette liaison pourrait leur attirer des ennuis, qu'elle créerait un scandale. Ils continuaient tous deux de rester muets. Clotilde donnait l'impression de dormir, ne pensant pas que cela puisse perturber Duroy. « Mais qu'attendait t'il pour se lance » et ainsi rompre cette situation, ce silence, pensait t-elle. Mais en même temps elle n'anticipait pas même sa propre réaction si il tentant quelque chose. Elle remua son pied contre le sien pour fzire avancer les choses et ceci fonctionna ca Georges Duroy se jeta sur elle et ainsi elle reçu un baiser de sa part. Au début, par réflexe, elle poussa un cri puis voulut le rejeter, mais sans se mentir, elle attendait cette scène depuis le début c'est pour cela qu'elle finit par céder à ses avances Leur voyage fut bientôt terminé, Clotilde semblait attendre une réaction de la part de Georges sur ce qu'il venait de se produit mais celui-ci n'avait pas l'air d'avoir les mots appropriés à la situation. Tout en trébuchant sur la marche du fiacre, Mme de Marelle attrapa la main de M. Duroy pour s'aider à descendre. Tout en regagnant son domicile, elle lui donnant rendez-vous le lendemain à