Le Québec a besoin de tous ses travailleurs pour que l’on reste compétitif et fort. Le problème c’est qu’il y a au Québec en ce moment plus de 400 000 personnes qui ont recours à une forme d’aide sociale provinciale ou fédérale et qui ne sont pas, du même coup, sur le marché du travail pour faire avancer notre société. Ce sont des gens en bonne forme physique, avec des capacités à travailler compétentes mais qui ne peuvent se trouver un emploi dans la conjoncture économique actuelle. Et pourtant, il est estimé par notre ministère qu’il à 725 000 emplois à pouvoirs au Québec à cause de la création d’emplois et par la retraite d’ici 2017 et plus de 1 million d’ici 2022.
Notre gouvernement voit ce problème et nous y voyons une solution rattachée. Nous voulons redonner aux citoyens les moyens de leurs ambitions en redonnant à ces gens un emploi stable, compétitif, enrichissant et qui apporte un revenu beaucoup plus important que les prestations sociales. C’est pourquoi notre gouvernement est fier d’annoncer la création du pacte de l’emploi Bleuet.
Ce projet en est un à long terme. Il sera difficile à évaluer rapidement son effet, simplement par le fait que certains prestataires trouveront un emploi rapidement alors que d’autres se retrouveront longtemps dans des démarches pour se trouver un emploi. Il faudra donc être patient avant d’émettre des conclusions hâtives. Ce qui est important, c’est que ce pacte redonnera aux prestataires le moyens de leurs ambitions en leurs donnant un outil de plus pour se trouver un bon emploi. Ce ne sera pas aussi seulement bon pour les employés, mais aussi pour les entreprises, car celles-ci se verront verser des crédits d’impôts et d’autres incitatifs lorsqu’elles fourniront la formation à des employés et lorsqu’elle emploiera des minorités visibles, des nouveaux immigrants ou des personnes handicapées apte à travailler et des gens âgés de 55 ans et plus.

Pacte financé par le public, formation financé par le privé, selon les