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Travail maison de Français :
La question de corpus
Nous avons à faire à cinq documents d'auteurs différents ce questionnant tous sur l'idée du droit de tuer, ce qui entraîne la cohérence de ce corpus. Ainsi les auteurs Victor Hugo, Henri de Montherlant, Jean Anouilh, Albert Camus et André Franquin analysent les conceptions de la vie et de l'homme au 17ème et 18ème siècles.
Tout d'abord les cinq documents du corpus évoquent le même débat commun. En effet chaque documents met l'accent sur des personnes à la tête d'un territoire exerçant le pouvoir absolue ( Harmodius dans le document A, Le roi Ferrante document B, Le roi Créon document C, le Grand-Duc document D et enfin le roi caricaturé document E ). Ainsi chaque Tyran ce pose la même question qui est : As t-on le droit de tuer ? Ceci met en place la thèse commune au auteurs qui est le droit de tuer.
Pour parler de la peine de mort, les auteurs mettent en place plusieurs champs lexicaux s'enchaînant selon une graduation. Tout d'abord le champs lexical de la tyrannie est mit en évidence pas le nom « tyran »( l.2; doc A ) et ( l.4; doc B ). On remarque aussi la présence du verbe « exécuter » ( l.3; doc A ); ( l.15,39; doc B ). De plus l'effet de tyrannie est renforcé par « les proscrits » ( l.3; doc A ), « l'injustice » ( l.9; doc B ), « sacrifié » ( l.45,47; doc B ), « crime » ( l.1; doc D et « la tête tranchée », « peine capitale » ( doc E ). En outre ce premier champs lexical amène à celui de la violence exprimé par « le sang » dans les textes de Victor Hugo et Henri de Montherlant. Ou alors par la présence du verbe « poignarder » ( l.30; doc A ) et l'apparition régulière du verbe « tuer » dans les document A, B et C. Enfin le champ lexical de la violence renvoie vers celui de la mort : « la tombe » ( l.3, doc A ), « cadavres » (l.13; doc A ), « spectres » ( l.21; doc A ) et part la forte présence dans chacun des textes du mot mort : ( « meurent (l.5) » « mort (l.12) doc A ), ( « mourir