document 2014
Le premier texte à la citer est le Roman de Rou, par le poète anglo-normand Robert Wace, autour de 1160. C’est dans les textes postérieurs qu’elle trouve son nom actuel et la plupart de ses attributions, sans que les indices sur sa localisation soient concordants. Sa première localisation physique revendiquée remonte au 30 août 1467 lorsque les Usemens et Coustumes de la foret de Brecilien sont écrits au château de Comper, par un certain Lorence, chapelain du comte de Laval.
Anciennement, Brocéliande était assimilée à la forêt de Quintin, mais depuis le milieu du xixe siècle, les différents auteurs l'associent de préférence à la forêt de Paimpont. Cette théorie est la plus largement admise par la culture populaire, et en France, seules les communes autour de la forêt de Paimpont ont le droit d'utiliser le nom « Brocéliande »1. Cette dénomination revêt désormais un intérêt économique considérable pour cette région.
D'autres théories postulent sa localisation près de Huelgoat, du Mont Saint-Michel, de Dol, à Paule, voire en Normandie.
Sommaire [masquer]
1 Étymologie
2 Dans les romans arthuriens médiévaux
3 Localisation
3.1 Bibliographie
3.1.1 Matière de Bretagne
3.1.2 Études
3.2 Œuvres de fiction
3.3 Marques
4 Notes et références
4.1 Notes
4.2 Références
5 Annexes
5.1 Articles connexes
5.2 Liens externes
Étymologie[modifier | modifier le code]
La plus ancienne forme connue, Brecheliant, a fait supposer que le toponyme serait basé sur