Écriture d’invention

L’éducation sentimental
Flaubert (1869)

C’était une après-midi comme une autre , je m'êtes assise sur un banc , j’étais seul , je faisais de la broderie ,quand j'aperçus un homme . Il n'arrête pas de passer et de me regarder .
Il était vêtu d’une chemise qui avait l’apparence d’être blanche mais qui était noirci par la saleté et à moitié déchiré .Un bas marron qui lui arrivé aux genoux et qui paressait trois fois trop petit pour lui . Des sandales noir aux quels manqué des lacés et aux semelles décollés .Il porté également un béret à carreaux et une veste trop grande pour lui , qu’il avait sûrement volé , ses cheveux étaient long , gras , sale . sa peau sale comme si il ne c’était pas lavé depuis 3 semaines .
Il se mit à faire plusieurs tour de gauche à droite comme pour manifesté mon attention mais je préférer rester concentré a ma broderie . Il se posa tout près de mon ombrelle et se mit à regarder la mer , sens doute s'intéressait il à la chaloupe que l’on pouvait percevoir au loin sur la rivière .
Tout à coup je vit la nourrisse arrivé avec ma petite fille , Madison , qu’elle tenait par la main .Elle venait de se réveiller, ses yeux étaient remplit de larmes.
Je la pris sur mes genoux :
-”Mademoiselle n’était pas sage quoi qu’elle eût sept ans bientôt ; sa mère ne l’aimerait plus ; on lui pardonnait trop ses caprisse “ dis je .
Puis l’homme se mit à me regarder et à sourire .
Mon châle à bandes violettes , avec lequel j’ai l'habitude de m’endormir le soir sur le pond , était en train de glisser .Je n’y prétaire pas attention car j’étais trop occupé à jouer avec Madison .Il se mit à tomber , puis l’homme le rattrapa avant qu’il tombe dans l’eau .
-”je vous remercie , monsieur “ dis je .
Et d’un seul coup nos yeux se rencontrèrent et plus rien autour de nous n’avait de sens .
-”Ma femme ,es-tu prête ?” cria mon mari M.Arnoux, qui apparaissait dans le capot de l’escalier , au point de me faire sursauter .