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Les Lumières :
La philosophie des Lumières met la Raison au centre de tout. Elle doit être souveraine et donc devenir le principe de l’organisation de l’État. Il faut pour cela que son gouvernant soit conscient des imperfections du système et cherche à le rendre plus rationnel. C’est cette idée que les monarques absolus reprennent à leur compte. Ils disent adhérer à cette pensée rationaliste et vouloir mettre l’autorité qui leur est acquise au service de la Raison. La légitimité que leur confère cette tâche remplace la justification divine de leur pouvoir.
Les souverains éclairés se présentent comme les premiers serviteurs de l’État, comme aime à le dire Frédéric le Grand : ils ne sont que des intermédiaires chargés de mettre en pratique les réformes que la pensée rationnelle exige. Leurs décisions ne sont donc pas le fruit d’une volonté despotique, mais l’incarnation de la raison.
Forts de cette nouvelle légitimité inspirée des idées de leur temps, les souverains entament des réformes modernisatrices.Despotisme eclairé
Les Lumières :
La philosophie des Lumières met la Raison au centre de tout. Elle doit être souveraine et donc devenir le principe de l’organisation de l’État. Il faut pour cela que son gouvernant soit conscient des imperfections du système et cherche à le rendre plus rationnel. C’est cette idée que les monarques absolus reprennent à leur compte. Ils disent adhérer à cette pensée rationaliste et vouloir mettre l’autorité qui leur est acquise au service de la Raison. La légitimité que leur confère cette tâche remplace la justification divine de leur pouvoir.
Les souverains éclairés se présentent comme les premiers serviteurs de l’État, comme aime à le dire Frédéric le Grand : ils ne sont que des intermédiaires chargés de mettre en pratique les réformes que la pensée rationnelle exige. Leurs décisions ne sont donc pas le fruit d’une volonté despotique, mais l’incarnation de la raison.
Forts de cette nouvelle légitimité