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Les auteurs commencent par poser une affirmation (« C’est… », l.1) présentée comme une vérité ou comme la correction d’un point de vue (« en réalité », l.1). L’idée ici proposée sera explicitée à l’aide de la deuxième phrase de l’extrait. Elle repose sur le principe selon lequel c’est l’ensemble de nos hypothèses (« conjectures », l.1) organisées en un système sans doute déductif ou du moins obéissant aux règles de la logique, en tout cas théorique, et non une hypothèse considérées indépendamment des autres qui doit être évalué expérimentalement (« prouvé ou réfuté », c’est-à-dire vérifié ou démontré faux). Les hypothèses dont on verra qu’elles sont scientifiques et- en particulier qu’elles appartiennent à la physique (comme le suggère l’exemple de l’héliocentrisme ou la métaphore du mécanisme de la montre) sont donc considérées comme interdépendantes.
Cette interdépendance