Documents francais
Écrivain
Av. del padre huidobro, 85
Espagne
Huy, le 18 janvier 2010
Chère madame Métaillé,
C’est avec un immense plaisir que je vous fais part de mon œuvre, intitulée « Le vieux qui lisait des romans d’amour ».
Celui-ci, se déroulant en Amazonie, raconte la vie d’un homme, Antonio José Bolivar, qui à travers ses yeux, vous fait découvrir cette espace tropical, mais aussi le début de sa destruction. Depuis la perte de sa femme, il se retrouve pris en charge par un noble peuple, les Schuars, habitants de la forêt. Il va vivre de la même manière que ce peuple, c’est-à-dire en parfaite harmonie avec la nature. Après avoir quitté les Schuars ou « Jivaros », car il n’a pas pu sauver l’âme de son ami en tuant ses assassins digne d’un chasseur indien, il retourne à son village natal, El Idilio. Il y découvre sa fascination pour la lecture de romans d’amour qu’il lit, seul, dans sa cabane éloignée de tous. Sa vie monotone se terminera le jour où il va devoir innocenter les jivaros, accusés à tort par le maire et les habitants d’El Idilio d’avoir tué un villageois. Antonio va se lancer dans une course poursuite contre une femelle félin assoiffée de vengeance. Le maire, l’accompagnant, va se montrer totalement stupide, comme par exemple, quand il tue un ours à miel, un animal inoffensif. Il ne va pas continuer le périple, laissant seul Antonio José Bolivar, seul face aux dangers.
Je veux pousser les lecteurs de ce roman à se rendre à l’évidence. Nous devons assurer la sauvegarde de ce fabuleux espace vert. Y laisser, par ailleurs, vivre paisiblement les animaux et tous les individus y demeurant.
Tout d’abord, les indigènes sont considérés comme des sauvages n’ayant aucune culture. Les blancs élisent des personnes « instruites » pour diriger leurs villages, comme ici le maire, hors cette instruction est nuisible. En effet, le maire se montre incapable de diriger le territoire qui lui est confié. Il n’a la confiance de