Dom juan acte 1, scene 2
Dom juan => Comédie =>Molière => Créée et mise en scène en 1665, a Paris au Théâtre du Palais royal.
Moment critique dans l’histoire du dramaturge => Interdiction de Tartuffe => pressions des dévots, compagnie du Saint sacrement => La pièce s’attaque à l’hypocrisie des faux dévots.
Molière => auteur, acteur, directeur de troupe. => Pour renflouer ses caisses =>Mythe moderne de DJ : sujet a la mode pour son libertinage.
La tirade de DJ, éloge de l’inconstance. Acte 1, scène 2
DJ répond à S, avec un éloge de l’inconstance, du libertinage. Scène dans la continuité de la scène d’exposition => portrait directe de DJ. DJ veut convaincre S des bontés du libertinage.
1) Une argumentation bien construite.
a)Un éloge de l’inconstance en réponse a S.
-Eloge paradoxale, met en valeur sa philosophie de vie, rejeté par la société.
-1er mot: « quoi ! » => Interjection exclamation => mécontentement face aux arguments de S.
-L 1 à 4 : Question rhétorique.
Répétition de « que », 3 questions 8 syllabes : Martèlement =>supériorité de DJ.
-Pour DJ, la pensée de S est scandaleuse : « Faux honneur d’être fidele » : constance = mort.
« Renonce au monde » « s’ensevelir » « mort dés sa jeunesse » => Monotonie, endormissement. « La constance n’est bonne que pour les ridicules » => constants = sots.
-DJ réfute les thèses de S. Opposition : l’inconstance et la constance.
b) Porter générale de son discourt :
-Posture énonciative complexe :
Je : lyrisme, s’affirme, revendique son propos. « Pour moi, la beauté me ravit partout ou je la trouve ».
Nous : porter générale de son discourt.
On : Pronom indéfinie : propos générale, se cache pour assoir son pouvoir et mieux convaincre S. Fait croire qu’il n’ait pas le seul à avoir sa philosophie libertine.
-Présent de vérité générale, universelle, intemporelle. « La constance n’est bonne que pour les ridicules » =>Maxime, proverbe.
2) Un plaidoyer en sa faveur :
a)DJ victime de l’amour :