Dom juan acte i scène 1
I. portrait du maître par le valet
Selon Sganarelle son maître est un : impie, débauché et grand seigneur scélérat. un impie : Dom juan n'a ni religion, ni superstition : " il ne croit ni ciel, ni enfer, ni loup-garou". Dom juan est un libertin, il ne connait aucune autorité étrangère supèrieure à celle de la conscience. Il provoque à une époque d'ardente renaissance du catholiscisme. Sganarelle redoute pour son maître un chatiment divin. le débauché : libertinage des moeurs. Un fort désir sexuel, qui l'associe au diable, il se refuse aucune limitation. Il proclame la nécessité d'être libre dans sa vie morale. Dom juan se moque des règles sociales. ( cf ligne 14 ). Sacrifiants tous à ses appétits sexuels, il s'empare de toutes les femmes. Il bafoue l'institution du mariage ( virginité de la femme ): boulimie sexuelle.
Don juan ne craint rien, il n'a peur d'aucune remontrance qu'on lui puis faire.
II. le portrait du valet
Valet aux antipodes de son maître.
Un défenseur de la morale tradi. , et de la foi religieuse. Mais cette croyance profonde dégénère ensuperstition grossière. Il place sur le même plan Dieu et la croyance en les loup-garou.
En l'abscence de son maître sganarelle pérore fièrement. Il se targue d'une intmité avec le maître lorsqu'il parle avec l'écuyer. Il jouit de la stupeur que cela cause à l'écuyer : " Tu demeures surpris et changes de couleurs...". Mais devant son maître il tremble bêtement. Dès qu'il voit son maître il se reproche d'avoir parlé autant : " S'il fallait que ...."
Le valet est en fait admiratif de son maître : sentiment de fascination. Il est subjugué par son maître. Sganarelle n'est rien sans son maître, c'est grâce à lui qu'il a accumulé tout ce vernis de culture qui lui permet de pérorer devant gusman.
Souvent, le valet cherche à imiter le language de son