Dom juan
(Molière)
Petit résumé du livre :
Don Juan, libertin impénitent et blasphémateur, séduit toute jeune femme passant à portée d’yeux, noble ou paysanne, vertueuse ou peu farouche. C’est la conquête qui l’intéresse véritablement : une fois le cœur de la belle ravi, il se lance sur la piste d’une nouvelle proie. C’est ainsi qu’il ravit à son couvent Elvire, et provoque sa malédiction lorsqu’elle se sait bernée. Irrespectueux envers son père, impie et fier de l’être, Don Juan sera finalement châtié pour tous ses blasphèmes par la statue du Commandeur qu’il tua jadis en duel.
LE COMIQUE DE SITUATION
Le comique de situation mettent en place des intriguent comme par exemple dans l’acte II scène 5, Dom Juan mène un double jeu ; il ment aux deux paysannes Charlottes et Mathurine afin de semer la zizanie entre ces deux femmes. Et Sganarelle le valet de Dom Juan qui fait preuve de lâcheté devant son maître malgré sa bonté et se contredit : « mon maitre est fourbe » « il n’est point fourbe ». Ou bien encore les deux paysannes naïves qui mènent une dispute de façon ridicule don Dom Juan en est le responsable.
LE COMIQUE DE LANGAGE
Molière met aussi en place le comique de mot, exemple dans l’acte II scène 5 avec le langage populaire « le v’la » ou bien « Quement donc » ce langage familier remplie la scène d’humour car cette façon de parler rend le personnage ridicule, ou bien Dom Juan piégé par son propre piège par Charlotte et Mathurine fut embarrasser de la situation dans laquelle il s’était mise dans l’acte II scène 4, puis, Sganarelle apeuré qui essaie de dire à son maitre que la statue bouge et Dom Juan qui ne vois rien menace son valet si il ne terminai pas sa phrase dans l’acte III scène 5.
LE COMIQUE DE CARACTERE
Le comique de caractère est ce qui donne un visage propre à un personnage, un caractère qui lui est propre et qui fait sa personnalité comme par exemple Dom Juan dans l’acte II scène 2 qui fait part de ses dernières conquêtes