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1. Les conséquences psychologiques :
La très faible alimentation peut entraîner de très grave problèmes psychologiques à long therme : une hyperactivité physique et intellectuelle. une certaine irritabilité et un tempérament colérique. une perte d'humour et de joie de vivre. une grande sensibilité aux influences extérieures. une baisse de libido qui peut aller jusqu'à l'absence totale de désir sexuel. des difficultés de concentration et de mémorisation.
2. Les conséquences physiques :
Il y a d'abord les conséquences de la dénutrition et des carances en vitamines, en sels minéraux ou encore en protéines : infertilité, grossesses rare et difficiles a mener à terme, risques d'enfant prématuré, arrêt des règles. peau sèche, chute de cheveux, cheveux trop fins, cassants et décolorés. douleurs abdominales, sensations désagréables de faim au creux de l'estomac, ballonnements après les repas, costipations. maux de tête, intolérance au bruit et à la lumière comme dans les migraine. vertiges, equilibre instable par hypotentions. bruits perçus pas les oreilles. troubles de la vue, floue ou instable. pieds et mains froids. crampes, fourmillements et perceptions bizarres (paresthésie) insomnie.
Les vomissements et les prises de médicaments qui suivent la crise sont responsables :
de baisse du potassium sanguin (hypokaliémie) avec risque majeur de troubles du rythme cardiaque pouvant aller jusqu'à l'arrêt cardiaque, d'insuffisance rénale pouvant imposer à terme une dialyse rénale ou une greffe de rein, de fatigue, de faiblesse musculaire, de constipation, de crise de tétanie, d'érosion irréversible de l'émail dentaire, de caries sévères.
L'ingestion boulimique de grandes quantités d'eau (potomanie) peut déclencher des crises convulsives, de type épilepsie.
L'anorexie peut ausssi provoquée de