Synthèse:La peine de mort

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Certain pays applique toujours la peine de mort dans leurs lois par exemple mes États-Unis et dans d'autres pays en dehors de l'Europe. C'est à ce sujet que vont débattre quatre auteurs Robert Badinter dans son « discours de l'assemblée nationale », Michel Sardou et sa chanson « je suis pour », Victor Hugo avec son roman « le dernier jour d'un condamné » et Emmanuel Kent qui écrit son livre « Métaphysique des mœurs ». Pourquoi certain pays utilise toujours la peine de mort ?

Dans son discours Badinter parle de Victor Hugo, Forni, Camus, Clemenceau, Gambetta, Jaurès c'est six auteurs sont pour l'abolition de la peine de mort, car il précise que la France fut un des derniers pays à abolir la peine de mort. Il dit que si la France n'a pas aboli c'est en partie due aux politiques. Il aura donc fallu une première constituante pour diminuer la peine de mort puis une première assemblée républicaine pour supprimer l’exécution. Robert est donc contre cette peine de mort et le montre en prouvant qu'en supprimant cette peine de mort il pourrait y avoir une paix générale, avec cet exemple: « la première assemblée républicaine que la France ait connue, la grande convention, le quatre brumaire an IV de la République, a proclamé que la peine de mort était abolie en France à dater de l'instant où la paix serait rétablie.Tout comme Badinter, Victor Hugo est contre la peine de mort il trouve que la prison a perpétuel suffirait et que la peine de mort est injuste et inefficace et le démontre avec cette phrase :« elle ne doit pas punir pour se venger elle doit corriger pour améliorer ». Tandis que Sardou est totalement pour l'exécution direct avec sa chanson il explique la rancœur d'un père qui a perdu un fils lors d'un assassinat, il trouve que si son fils est mort, le tueur doit mourir également ce qui montre une idée d'égalité alors que dans sa chanson il prouve que la vie n'a pas été égale avec le père de l'enfant avec cet exemple :«