Dormeur du Val
On a tous appris pas cœur le dormeur du val, le sonnet de Rimbaud, derrière ce poème ce murmure un cri de révolte conte les horreurs de la guerre, contre les assassinats des jeunes soldats, le massacre de toute une jeunesse.
Une lente approche dans un valent ensoleillé conduit peut à peut le lecteur, devant une macabre (mort) qu'on assimile à un sommeil profond, paisible.
Comment Rimbaud a-t-il créer la surprise final du lecteur.
Une nature féerique, la 1er quatrain tresse un cadre enchanteur dans une féerie de couleur & d’illumination, de valent par un cour d'eau.
Est ici présenter par une périphrase, un trou de verdure. En droit favorable audible & au rêve. Le mot « trou » dans le 1er vers annonce déjà « 2 trou rouges ».
La rivière personnifié comme la montagne chante, comme un signe de joie. « joie de vivre de la rivière se manifeste en accrochant des objets aux herbes comme des guirlande.
Le rejet d'argent est l'accent sur la richesse des jeux d'eaux & de lumière. L'apparition du soleil symbole avec l'eau de la vie pour la nature transforme les lignes & les volumes.
Les rimes croisés & non pas embrassé du quatrain des nombreux rejets au vers 3 &4, les sonorité en « ou » participe à ce bouillonnement visuel & sonore.
La position inattendu du soldat, ce qui est surprenant c'est qu'il est allongé la tête à fleur d'eau. Les vocations du soldat désigne un jeune soldat « la bouche ouverte », le tête nu lui donne un aspect peut réglementaire pour un soldat, un être libre, insouciant, la position évoque de plus la paresse que le devoirs militaire, il nous est décrit comme un être malade « pale », dans « en lit », « dort » & son sommeil est frapper d'ambiguïté car la bouche ouverte peut être compris de 2 façons soit la mort ou celle du regret.
La nuque baignant (vers 6) évoque étant l'inertie que l'abondant.
Les couleurs du 2ème quatrain « bleu » (vers6), « pâle » (vers8) sont moins éclatante que le 1er quatrain